La rédaction vous présente les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
Ces 30 Français incontournables en 2015
Arrogants, râleurs, tolérants, fainéants, progressistes… Quelle est la réputation des Français hors des frontières hexagonales ? À en croire la presse internationale, le capital sympathie aurait pris un nouveau coup dans l’aile.
Il est vrai que les circonstances n’ont pas aidé. Les occasions de railler l’animal France n’ont pas manqué cette année. Onze villes passées à l’extrême droite, une première dame partie en vendetta, une dette publique explosive, un chômage record, des grèves à n’en plus finir, des partis politiques qui s’entre-déchirent dans des guerres d’ego plutôt que de redonner de l’élan à un pays en proie à la morosité. Mais si l’on ne peut blâmer nos voisins d’être passés maîtres dans l’art de s’en prendre aux Français, il est plus alarmant de constater que le french bashing est désormais pratiqué par nos compatriotes comme un sport national dans lequel ils excellent.
Cela fait bien longtemps que le coq tricolore tend le bâton pour se faire battre. Parfois volontairement, souvent naïvement. Mais jamais le pays ne s’est autoflagellé avec une telle vigueur. Au point que certains patrons montent au créneau pour dire «?stop !?» à la violence domestique. Maurice Lévy, Denis Kessler, Xavier Niel, Nicolas Dufourcq, Mercedes Erra font partie de ceux qui battent le pavé pour sortir la marque France de son syndrome Calimero.
Dans les faits, il y aurait parfois matière à monter sur nos ergots. À condition d’avoir le courage de changer de focale. Quelques exemples : deux prix Nobel la même année, dont un en économie, ce n’est pas exactement le signe de la décadence. Les entrées en Bourse d’Euronext, valorisée à 1,4?milliard d’euros, ou celle de la Coface et ses 1,6?milliard d’euros ne sont pas exactement synonymes de déclin. Et le lancement du programme d’Ariane 6 ou le succès de la seconde greffe de cœur artificiel prouvent que la France n’a pas rangé au placard sa volonté d’innover.
Pour cette année 2015, Xavier Niel réussira-t-il à satisfaire ses appétits à l’international ? Marie Ekeland fera-t-elle bouger les lignes du capital-risque français avec son nouveau fonds d’investissement ? Cédric Tournay trouvera-t-il acquéreur pour Dailymotion ? Emmanuel Macron incarnera-t-il le renouveau à gauche ? Pierre Kosciusko-Morizet lancera-t-il une nouvelle start-up digne de Priceminister ? La rédaction vous présente les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
Émilie Vidaud
Xavier Niel (ILIAD) : Les surprises du chef
Cécile Schmollgruber (STEREOLABS) : Multidimension
Pierre Kosciusko-Morizet (KERNEL) : Le retour du serial-entrepreneur
Alain Claeys et Jean Leonetti (DÉPUTÉS) : Pour une fin de vie «?digne et apaisée?»
Alexandre Ricard (PERNOD RICARD) : CAC 40 version quarantaine
Laure Saint-Raymond (ENS) : L’incroyable équation
Sébastien Proto (ROTHSCHILD) : Le banquier qui veut le rester
Franck Annese (SO PRESS) : Phénomène de Society
Agnès Verdier-Molinié (FONDATION IFRAP) : Femme d'influence
Marie Ekeland (FRANCE DIGITALE) : Le risque en capital
Jérémie Zimmermann (LA QUADRATURE DU NET) : Le geek éclairé
Loïc Soubeyrand (Teads) : Cap sur le Nasdaq
Marc Restellini (Pinacothèque de Paris) : L’art de conquérir
Stéphane Pallez (La Française des jeux) : Joker de la FDJ
Éric Carreel (Withings) : Toujours plus connecté
Emmanuel Macron (Ministre de l'économie) : La star du gouvernement
Isabelle Kocher (GDF Suez) : CAC 40 Version féminine
Cédric Tournay (Dailymotion) : In motion
Renaud Laplanche (Lending club) : À la conquête de l'ouest
Najat Vallaud-Belkacem (Ministre de l'Éducation nationale) : La benjamine réforme le collège
Pierre-Emmanuel Calmel (Devialet) : Le Maestro
Laurent Alexandre (Dnavision) : L’ADN du préventif
Jean-David Chamboredon (Isai) : Discret rebelle
Solomon Hykes (Docker) : La bonne fée des développeurs
Jean Paul Gaultier (Couturier) : L’icône à la marinière
Martine Aubry (Maire de Lille) : L’alternative
Bruno Lafont (Lafarge) : En béton armé
Nicolas Sarkozy (président de l’UMP) : L’éternel revenant
Guillaume Pepy (SNCF) : Unstoppable
Michael et Yoël Zaoui (Zaoui & co) : L’union sacrée
Dossier sous la coordination d'Émilie Vidaud, réalisé par Juliette Boulay, Alexandra Cauchard, Camille Drieu, Jean-Hippolyte Feildel, Mathieu Marcinkiewicz, Vincent Paes
Il est vrai que les circonstances n’ont pas aidé. Les occasions de railler l’animal France n’ont pas manqué cette année. Onze villes passées à l’extrême droite, une première dame partie en vendetta, une dette publique explosive, un chômage record, des grèves à n’en plus finir, des partis politiques qui s’entre-déchirent dans des guerres d’ego plutôt que de redonner de l’élan à un pays en proie à la morosité. Mais si l’on ne peut blâmer nos voisins d’être passés maîtres dans l’art de s’en prendre aux Français, il est plus alarmant de constater que le french bashing est désormais pratiqué par nos compatriotes comme un sport national dans lequel ils excellent.
Cela fait bien longtemps que le coq tricolore tend le bâton pour se faire battre. Parfois volontairement, souvent naïvement. Mais jamais le pays ne s’est autoflagellé avec une telle vigueur. Au point que certains patrons montent au créneau pour dire «?stop !?» à la violence domestique. Maurice Lévy, Denis Kessler, Xavier Niel, Nicolas Dufourcq, Mercedes Erra font partie de ceux qui battent le pavé pour sortir la marque France de son syndrome Calimero.
Dans les faits, il y aurait parfois matière à monter sur nos ergots. À condition d’avoir le courage de changer de focale. Quelques exemples : deux prix Nobel la même année, dont un en économie, ce n’est pas exactement le signe de la décadence. Les entrées en Bourse d’Euronext, valorisée à 1,4?milliard d’euros, ou celle de la Coface et ses 1,6?milliard d’euros ne sont pas exactement synonymes de déclin. Et le lancement du programme d’Ariane 6 ou le succès de la seconde greffe de cœur artificiel prouvent que la France n’a pas rangé au placard sa volonté d’innover.
Pour cette année 2015, Xavier Niel réussira-t-il à satisfaire ses appétits à l’international ? Marie Ekeland fera-t-elle bouger les lignes du capital-risque français avec son nouveau fonds d’investissement ? Cédric Tournay trouvera-t-il acquéreur pour Dailymotion ? Emmanuel Macron incarnera-t-il le renouveau à gauche ? Pierre Kosciusko-Morizet lancera-t-il une nouvelle start-up digne de Priceminister ? La rédaction vous présente les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
Émilie Vidaud
Xavier Niel (ILIAD) : Les surprises du chef
Cécile Schmollgruber (STEREOLABS) : Multidimension
Pierre Kosciusko-Morizet (KERNEL) : Le retour du serial-entrepreneur
Alain Claeys et Jean Leonetti (DÉPUTÉS) : Pour une fin de vie «?digne et apaisée?»
Alexandre Ricard (PERNOD RICARD) : CAC 40 version quarantaine
Laure Saint-Raymond (ENS) : L’incroyable équation
Sébastien Proto (ROTHSCHILD) : Le banquier qui veut le rester
Franck Annese (SO PRESS) : Phénomène de Society
Agnès Verdier-Molinié (FONDATION IFRAP) : Femme d'influence
Marie Ekeland (FRANCE DIGITALE) : Le risque en capital
Jérémie Zimmermann (LA QUADRATURE DU NET) : Le geek éclairé
Loïc Soubeyrand (Teads) : Cap sur le Nasdaq
Marc Restellini (Pinacothèque de Paris) : L’art de conquérir
Stéphane Pallez (La Française des jeux) : Joker de la FDJ
Éric Carreel (Withings) : Toujours plus connecté
Emmanuel Macron (Ministre de l'économie) : La star du gouvernement
Isabelle Kocher (GDF Suez) : CAC 40 Version féminine
Cédric Tournay (Dailymotion) : In motion
Renaud Laplanche (Lending club) : À la conquête de l'ouest
Najat Vallaud-Belkacem (Ministre de l'Éducation nationale) : La benjamine réforme le collège
Pierre-Emmanuel Calmel (Devialet) : Le Maestro
Laurent Alexandre (Dnavision) : L’ADN du préventif
Jean-David Chamboredon (Isai) : Discret rebelle
Solomon Hykes (Docker) : La bonne fée des développeurs
Jean Paul Gaultier (Couturier) : L’icône à la marinière
Martine Aubry (Maire de Lille) : L’alternative
Bruno Lafont (Lafarge) : En béton armé
Nicolas Sarkozy (président de l’UMP) : L’éternel revenant
Guillaume Pepy (SNCF) : Unstoppable
Michael et Yoël Zaoui (Zaoui & co) : L’union sacrée
Dossier sous la coordination d'Émilie Vidaud, réalisé par Juliette Boulay, Alexandra Cauchard, Camille Drieu, Jean-Hippolyte Feildel, Mathieu Marcinkiewicz, Vincent Paes