Après plusieurs décennies au cours desquelles les modes d’exercice de la profession d’agent immobilier se sont réinventés, des activités complémentaires de la transaction immobilière se développent désormais. Certaines d’entre elles (conseil en investissements financiers, intermédiation en opérations de banque et services de paiement, intermédiation en assurance, etc.), constituent des activités dites "réglementées". Ces activités nécessitent une attention toute particulière, sauf à prendre le risque de lourdes sanctions.

La France compte entre 1 500 et 1 800 zones commerciales, représentant un chiffre d’affaires global de 300 milliards d’euros. 10 à 15 % de ces zones sont considérées comme obsolètes et n’attirent plus de clientèle alors que les centres commerciaux qui ont fait l’objet d’une rénovation récente se portent bien. Philippe Fieloux et Antoine Ryckeboer, de Fieloux Avocats, nous expliquent les raisons de ce contraste.

Nombreux sont les preneurs à bail qui sollicitent nos services compte tenu de la conjoncture actuelle (inflation galopante, hausse des indices, augmentation du coût des charges d’exploitation…), et de l’évolution de la réglementation (décret tertiaire, ombrières parkings, panneaux photovoltaïques, bornes de recharge, normes ICPE…). Nous apportons des solutions juridiques et pragmatiques, concrètes et innovantes, tendant à réduire leurs coûts.

Déjà fortement impacté par la crise du Covid-19, le marché de l’immobilier tertiaire, et notamment du commerce, demeure affecté par l’inflation et la remontée des taux d’intérêts. Les propriétaires de locaux commerciaux et les preneurs sont ainsi contraints de s’adapter et de repenser leur stratégie pour limiter les coûts (diminution de la surface louée, implantation dans des villes où le loyer est moins onéreux, e-commerce, etc.). Le bailleur qui était en position de force l’est beaucoup moins depuis quelques années et ce rapport semble même s’inverser aux profits des preneurs.