Le constructeur automobile voit ses ventes augmenter de 4,3 %.
Carlos Tavares remet PSA sur les rails de la croissance
Après huit mois à la tête de PSA Peugeot Citroën, Carlos Tavares atteint son premier objectif en redressant les ventes du groupe qui progressent en 2014 de 4,3 %, à 2,939 millions de véhicules. Une croissance portée principalement par la Chine, en hausse de 31,9 %, et l’Europe, de 8,1 %. Les bons chiffres de ces deux zones, qui représentent 85 % des ventes du groupe, compensent les mauvais résultats dans les pays émergents comme le Brésil et la Russie. En Amérique latine, les facturations sont en diminution de 34 % et en Eurasie, de 41,1 %.
Côté marque, Peugeot profite de l’engouement pour ses crossovers Peugeot 2008 et 3008 qui entraînent une croissance en Europe et en Chine de 43,1 %. Citroën également affiche de bons résultats. Avec 7,6 % de croissance en Europe, la marque aux chevrons gagne des parts de marchés en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne. DS en revanche est en peine. Avec une baisse de 3,4 % des ventes, la ligne premium du groupe ne décolle pas.
Carlos Tavares aura pleinement rempli son second objectif si le 18 février prochain, à l’annonce des résultats financiers, le groupe repasse dans le vert. En 2013, le chiffre d’affaires affichait une baisse de 2,4 % et des pertes consécutives de 560 millions d’euros en 2012 et 170 millions d’euros l’année suivante. C’est à la suite de cette dégradation financière que l’État et Dongfeng sont entrés au capital de PSA au printemps dernier.
Côté marque, Peugeot profite de l’engouement pour ses crossovers Peugeot 2008 et 3008 qui entraînent une croissance en Europe et en Chine de 43,1 %. Citroën également affiche de bons résultats. Avec 7,6 % de croissance en Europe, la marque aux chevrons gagne des parts de marchés en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne. DS en revanche est en peine. Avec une baisse de 3,4 % des ventes, la ligne premium du groupe ne décolle pas.
Carlos Tavares aura pleinement rempli son second objectif si le 18 février prochain, à l’annonce des résultats financiers, le groupe repasse dans le vert. En 2013, le chiffre d’affaires affichait une baisse de 2,4 % et des pertes consécutives de 560 millions d’euros en 2012 et 170 millions d’euros l’année suivante. C’est à la suite de cette dégradation financière que l’État et Dongfeng sont entrés au capital de PSA au printemps dernier.