L’élection à la présidence de la région Île-de-France pour la CNCGP vient d’avoir lieu. Sandrine Genet, cofondatrice de Carat Capital, et Sylvain Ferri, gérant de Ferri Intermédiation et président et associé fondateur de FerriGestion, ont été élus en binôme pour présider la région. Sandrine Genet nous réserve ses premiers mots en tant que coprésidente.
Un nouveau binôme pour la CNCGP région Île-de-France
Décideurs. Pourquoi vous êtes-vous portée candidate ?
Sandrine Genet. Au cours des dernières années, nous avons profité des services d’un grand nombre de bénévoles et de permanents très impliqués et actifs dans le développement de la Chambre. Toutes ces personnes ont aussi beaucoup œuvré pour les cabinets, notamment sur les sujets règlementaires. À travers notre candidature, nous avons souhaité rendre un peu de ce que l’on nous a donné et prendre du temps pour aider à l’expansion de la Chambre. Nous voulions également participer à la bonne compréhension des modèles de cabinets de conseillers en gestion de patrimoine, en informant nos confrères sur les nombreuses mutations qui touchent actuellement le métier.
Quels sont vos projets pour le développement de la CNCGP Île-de-France ?
La CNCGP organise chaque année un certain nombre de réunions. Nous ne souhaitons pas changer ce modèle mais plutôt agir dans la continuité en apportant un contenu enrichi et en développant les études de cas sur des sujets très techniques afin de participer à la montée en compétences du métier. Ces études concerneront des sujets de techniques fiscales et civiles notamment. Elles porteront également sur des thématiques précises telles que l’internationalisation des patrimoines, la gestion financière…
Nous avons tout intérêt à nous associer. Nous souhaiterions pouvoir organiser des réunions avec les nouveaux adhérents de la CNCGP, et surtout ceux qui lancent leur activité. L’un de nos objectifs est de mettre en place des parrainages pour les jeunes adhérents. Des adhérents plus expérimentés pourraient ainsi les aider à nouer des partenariats avec les assureurs, par exemple. Nous savons à quel point ce peut être difficile au départ pour les plus jeunes. Nous aimerions également pouvoir proposer aux assistantes des formations sur le kit réglementaire.
Clémentine Nicolas