C’est l’espérance de vie de la nouvelle génération, selon Bill Maris, responsable de Google Ventures, le fonds d’investissement du géant américain.
Le chiffre du jour : 500 ans
Cette espérance de vie, qui relève pour le moment plus de la science-fiction que de la réalité, sera rendue possible grâce à des « nanorobots » capables de maintenir le corps humain en bonne santé alors que ses cellules se mourront. Proche de Ray Kurz Weil, théoricien reconnu du transhumanisme, Bill Maris a été embauché par Google pour créer un monde dans lequel les machines dépasseront la biologie humaine. Pour y arriver, ce diplômé en neurosciences dispose cette année d’un butin de 425 millions de dollars à investir dans les start-up travaillant sur la prolongation de la vie. En 2014, 36 % des actifs du fonds étaient investis dans les sciences de la vie, contre 6 % en 2013. Une évolution qui en dit long sur les ambitions de Google dans ce domaine.
V.P.
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